L’unité du corps

L’engagement total et harmonieux dans le mouvement, sont presentes pas seulement dans le Wing Chun Mi Tsung, mais aussi dans l’Aikido par exemple.  

”La vitesse d’exécution du maître se voulait aussi lente et précise que possible. Son choix de gabarit était aussi délibérément orienté vers les partenaires les plus imposants de la foule pour démontrer une capacité à générer un mouvement puis un déséquilibre dans des situations nettement problématiques.

… dans un mouvement aussi lent et doux. Comme si la technique était au service de l’esprit et du corps et se répercutait un peu partout chez moi plutôt que sur un point donné (une articulation, un poignet, une hanche etc…). Ajoutez à cela un soupçon d’une puissance très personnelle. Un zeste de mystère. Une pincée d’originalité et je pense que vous commencez seulement à saisir la recette.

Là encore, même chose. La façon de pénétrer le centre de chacun puis générer le déséquilibre en engageant l’entièreté du corps afin de faire s’écrouler tout le monde en même temps est…spécifique … Elle n’utilise pas non plus la douleur ou la contrainte comme dans d’autres disciplines traditionnelles. Elle peut même sembler “fausse” sans avoir été touché par l’enseignant lui-même.

 

C’est bien un Aïkido hors standard que propose le Senseï. Certaines formes sont certainement plus classiques que d’autres écoles mais le cœur du mouvement et son approche semblent profondément impactés par les éléments évoqués plus haut. On sent qu’il y a quelque chose d’autre dans le package offert ou du moins, même si je peine à le définir, qu’il y a un travail spécifique.” Aïki-Kohaï


 

Des mouvements sphériques 

 

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